J'ai commence a retracer le systeme de la tuyauterie, des pompes et des réservoirs. l'ai découvert ce qui semblait être l'unité de commande pour le système. Ça semblait être une boite de commande standard de l'avionique mais sans aucune inscription. Je pouvais suivre les fils de commande de la boite de commande aux pompes et aux val
ves mais aucun circuit de commande n'arrivait dans cette unité. Les seuls fils qui étaient raccordés à cette unité de commande rejoignait le système de commandes opérationnelles de lavion. Le système possédait un grand réservoir et deux plus petits. C'était difficile à voir du fait de l'étroitesse du compartiment, mais il semblait que le grand réservoir aurait pu
tenir 50 gallons. Les réservoirs étaient reliés à une soupape de vidange et de remplissage qui passait par le fuselage juste derrière la soupape de vidange du système des eaux usées. Ayant cherché où menait ce raccordement sous l'avion, j'ai vu qu'il était caché derrière un faux panneau sous un autre panneau, qui, lui, accédait au système du drain de vidange. J'ai commencé à retracer la tuyauterie des pompes. Ces tuyaux mènent à un réseau de plus petits conduits qui se terminent dans les rebords arrière des ailes et stabilisateurs horizontaux de l'avion. Si vous regardez attentivement les ailes d'un grand avion vous verrez un ensemble de fils, environ de la taille de votre doigt, s étendre du rebord arrière de l aile. Ce sont des tiges de décharge statiques. Elles sont employées pour dissiper la charge d'électricité statique qui s'accumule sur un avion en vol. J'ai découvert que les conduits de ce système
menaient a une sur trois de ces tiges a décharge électrostatique. Par contre, ces tiges uniques "avaient été creusées" dun trou comme pour laisser échapper un produit quelconque à partir de ces fausses tiges à décharge électrostatique. Cela faisait un certain temps que j'étais sur l'aile lorsque soudainement un des superviseurs me commanda de quitter le hangar. Il me dit par la suite que mon quart de travail était terminé et que je n'étais pas autorise à faire des heures supplémentaires. Les deux journées qui suivirent furent très
chargées et je ne trouvai pas une minute pour poursuivre nia petite enquête. Alors que j'étais en retard l'après-midi, deux jours après ma découverte, je fus appelé à remplacer un détecteur de température pour un moteur d'avion qui s'apprêtait à décoller. J'ai fini le
travail, et je retournai à la paperasse. Environ 30 minutes plus tard, j'étais convoqué dans le bureau du directeur général. Quand je suis entré dans son bureau, j'ai constaté que notre représentant du syndicat et deux autres personnes que je ne connaissais pas m'y attendaient. Le directeur me dit qu'un problème sérieux avait été découvert. J'étais suspendu pour faute
grave. Il ma remis une formule dis
ciplinaire déclarant que j'avais écrit de fausses entrées dans mon rapport de travail au sujet du détecteur de température de moteur que je venais d'installer quelques heures auparavant. J'ai été atterré et j'ai commencé à protester. J'ai dit que c'était ridicule et que j'avais effectué ce travail. le représentant de l'union s'interposa. Il a recommandé que nous jetions un coup d'œil à l'avion de façon à mettre la situation au clair. C'est à ce moment-là que j'ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m'a indiqué qu'ils étaient des inspecteurs de la süreté de la
compagnie aérienne mais qu'ils n'étaient pas tenus de me donner leur nom. Nous nous rendîmes donc à l'avion qui aurait dù être dans les airs mais qui était encore garé à notre rampe de maintenance. Nous avons ouvert les capots du moteur et le représentant du syndicat retira le détecteur de température. Il vérifia le numéro de série et constata que c'était la vieille pièce. Nous sommes alors allés au département des pièces, et le représentant des syndicats a vérifié mon rapport. Il a tiré des étagères une boite scellée. Il a ouvert la boite et a retiré le détecteur de température à moteur avec le numéro de série de celui que javais installé. Il m'a dit que jétais suspendu pendant une semaine sans salaire et à partir de cet instant même. Je me suis reposé à la maison le premier jour de ma suspension en me demandant ce qui avait bien pu m'arriver. Durant la soirée, j'ai reçu un appel téléphonique. La voix me dit : "Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent leur nez là où ils n'ont rien à faire. La prochaine fois que vous vous mettrez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas, vous perdrez votre emploi i Comme je me sens généreux aujourd'hui, je crois que vous pourrez retourner à votre travail bientôt ". CLICK.
J'ai aussitôt fait le rapprochement entre ce qui venait de se produire et mon retraçage de la tuyauterie mystérieuse. Le matin suivant le directeur général m'appela. Il me dit que, du fait de mes rapports de travail antérieurs qui étaient excellents, la suspension avait été réduite à une journée. Je devais donc nie remettre immédia-terrent au travail. La seule chose à laquelle je pouvais penser était "qu'est-ce qu'ils essayent de cacher" et ensuite "qui sontILS" l
Ce jour-là au travail, tout s'est passé comme si de rien n était. Aucun des autres mécaniciens ne mentionna la suspension qu'on m'avait infligée. Le représentant des syndicats m'a d'ailleurs dit qu'il était inutile d'en parler. Mais cette nuit-là, je surfais sur Internet pour essayer de trouver des réponses. Je ne me rappelle pas comment j'y suis arrivé, mais j'ai trouvé votre site par hasard. C'est alors que la situation est devenue de plus en plus claire. Le lendemain matin, au travail j ai trouvé une note écrite à l'intérieur de mon casier verrouillé. Elle disait : "la curiosité a tué le chat. Ne regarde pas les sites Internet qui ne te concernent pas."
Alors, voilà i ILS m'observent. Je ne sais pas ce qu'ils sont en train de vaporiser mais je peux vous certifier qu'ils le font. J'imagine qu'ils utilisent les "camions-citernes". Ce sont les camions qui vident les déchets des réservoirs de vidanges des toilettes. Les aéroports sous-traitent habituellement ce genre de travail et personne ne va près de ces camions. Qui voudrait bien se tenir près d'un camion remplit de m.,. et tandis que ces types vident les réservoirs des eaux usées, ils remplissent les rese rvoirs du système des gicleurs à vaporisation. Ils connaissent les plans de vol des avions. Ainsi ils programment probablement l'unité de commande afin qu'elle commence à pulvériser une certaine quantité après un certain temps dès que l'avion a atteint une certaine altitude, ou encore au passage de certaines agglomérations. Le bec des gicleurs des fausses tiges électrostatiques est si petit que personne dans l'avion, ne pourrait remarquer la chose Dieu nous aide tous,
un citoven concerné.''
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